Les mutilations génitales dans les cours d’éducation sexuelle et affective

Parlement francophone bruxellois

Question écrite de Fatoumata SIDIBE, députée, à Emir KIR, Ministre en charge de l’Action sociale et de la Famille
Concerne : Les cours d’éducation sexuelle et affective. 25 février 2011

La réponse  est disponible ici.

On le sait, tant la Communauté française que le Parlement francophone bruxellois ont adoptés des résolutions sur les cours d’éducation sexuelle et affective. Il s’agit, bien entendu, d’une démarche extrêmement positive.

L’éducation à la vie sexuelle et affective ne se limite pas à un simple apprentissage de prévention des comportements à risque, de la fécondité et de la contraception mais elle inclut également une réflexion sur les valeurs que l’on se donne à soi-même et que l’on donne à l’autre, des valeurs de respect et d’égalité entre les hommes et les femmes.
Par ailleurs, la problématique des mutilations génitales est, elle aussi, extrêmement importante et malheureusement bien présente.

Il serait donc tout à fait logique d’incorporer ce thème au cours s’éducation sexuelle et affective.

A cet égard, des contacts ont-ils été pris avec les associations plus particulièrement actives dans la sensibilisation aux mutilations génitales ? La façon d’aborder le sujet a-t-elle été discutée ? Avec quels résultats ?

Enfin, pourriez-vous me confirmer que cette thématique fera bien partie intégrante des cours d’éducations sexuelle et affective ?

Je remercie l’Honorable Ministre pour ses réponses.

Fatoumata SIDIBE
Décembre 2010

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