Je suis une libérale sociale

Le libéralisme philosophique, héritage du Siècle des Lumières et de la Révolution française, a donné aux citoyens un espace de liberté qui est la condition même du respect de la personne humaine.

La liberté poussée à son extrême, tel que le préconise un courant du libéralisme économique, conduit aux excès de l’individualisme, à l’égoïsme et, plus préoccupant encore, à la domination des puissances de l’argent sur la société.

La liberté d’entreprendre, ce n’est pas la liberté de spéculer au détriment du patrimoine collectif et de la richesse des nations. La liberté de créer, ce n’est pas la recherche du profit au bénéfice de quelques-uns et au détriment du plus grand nombre.

Je milite pour la construction d’une économie basée sur la justice sociale et sur la justice fiscale, où le changement professionnel ne sera plus vécu comme un échec mais comme une chance, où la reconnaissance de la société et la promotion sociale effaceront la peur de perdre son emploi.

Je défends l’autonomie du citoyen, la responsabilisation de tous et la solidarité envers les plus faibles. « Les FDF sont des libéraux sociaux. Plus libéraux que les individualistes de droite et plus sociaux que les collectivistes de gauche.